samedi 16 août 2008

Retour de voyage

Longtemps, je me suis couché de bonne heure... en rentrant de voyage...

Un jour, cependant, à la tombée du jour, je revenais d'Europe orientale, une femme m'attendait chez moi.

Elle m'avait demandé ce que je voulais qu'elle porte pour m'accueillir.

Des bas, seulement des bas lui-avais-je répondu.

Elle m'avait obéi, le plaisir des sens est le meilleur des caporaux.

Elle était donc là, j'ai posé les valises, elle avait préparé un repas, cela m'avait touché. Elle portait une robe verte et des bas sombres.

Nous nous sommes embrassés avec timidité au début, puis sans retenue aucune...

Naturellement, mon ventre s'est pressé contre le sien.

Naturellement, mes mains se sont glissées sous la robe. Et là...

La surprise.

Mes doigts ont caressé un sexe ouvert, et sans barrage pour retenir l'eau de son désir.

Elle a souri de ce sourire qu'ont les femmes quand elles vous offrent un cadeau inattendu.

Je l'ai entraînée dans la chambre du bas, tout en me déshabillant, c'était l'été, je ne portais presque rien.

J'étais nu sur le lit, mon sexe gonflé, elle retirait sa robe et je la caressais avec mon pied, son regard vacillait. Elle m'a avoué longtemps plus tard avoir été comme brûlée par mes yeux et ce pied qui lui pressait sans vergogne son intimité humide.

Elle s'est alors jetée sur moi, m'a prise entre ses lèvres tout de suite , intensément, puissamment. Je la caressais avec une main libre, je ne sais sincèrement plus ce que faisait l'autre.

Elle a poussé un petit gémissement, j'ai répondu par un cri appelé par sa caresse doucereuse.

Nous avons fait l'amour, partout, de toutes les façons sans doute connues dans cette partie de l'hémisphère, pendant plus de 90 minutes.

Elle n'a pas joui. La tension était sans doute trop intense ou étais-je trop empressé... La jouissance a ses mystères et je n'en suis pas le pontife, hélas...

Elle m'a dit, dans un souffle, "Oublions mon orgasme. Pensons au tien ! Baise-moi"

C'était à mon tour d'obéir, je crois.

Elle m'a fait jouir de ses doigts, certains flattaient ma prostate, d'autres agrippaient mon désir, et après que la première coulée eut souillé ses beaux seins, elle m'a repris dans sa bouche, y laissant mourir les jets suivants.

Puis, je l'ai embrassée, pour recueillir mon parfum intime sur ses lèvres carmins.

Nous nous sommes endormis de suite.

Le lendemain, nous avons fait l'amour, elle a joui, presque, tout de suite.

Une jouissance intense, aussi intense qu'elle avait été différée.

Merci à toi pour ce moment là...

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